| Dépouillage...(dédicacé à l' homme devant son blog...) ou : À chacun sa part du monde.   Pas trop envie de raconter en détail
ces vacances. Peut-on encore raconter quoi que ce soit d'ailleurs ?De chaque jour on peut faire un livre, un film, un tableau... Question de temps, de détermination, d'intérêt ou de motivation, question de jeu, d'illusion ou de tentative... À chacun sa part du monde. Chaque photo peut se faire déclic, pourtant déjà oubliée et à réinventer. Ou à oublier définitivement. Comme images d'une vie, propositions pour ceux qui regardent et inventent les légendes, comme simples inputs pour encéphales humains. J'y suis et vous y êtes. Ce qui les accompagne ici ne sont qu'indications, repères et parasites. |
 À chacun sa cuisine, comme dans ce livre de cuisine trouvée chez
ma mère...Dépouillage, écorchage et découpage. N'est-ce pas le travail de l'artiste autant que celui du critique ou du lecteur ? " Étant donné l'accumulation des preuves, il n'y a pas d'autre hypothèse plausible que la réalité. Étant donné l'accumulation des preuves du contraire, il n'y a pas d'autre solution que l'illusion " disait Baudrillard en exergue de son livre Le crime parfait (Éditions Galilée, 1995) Vérification faite, les 9 livres de Baudrillard dans ma bibliothèque sont là pour me rappeler, comme d'habitude, non seulement une influence mais aussi l'époque et l'endroit où j'ai commencé à le lire (De la séduction, lu au Sénégal en 1980.), et que si l'homme meurt, ses livres restent...  - Fait voir..., répond Charlotte.  Mais pas la lecture du vidame de Chartres, dont le récit du portrait de l'Abbé de Rancé m'a encore enchanté il y a peu de temps... |
Printemps à Bueil (Orne), Chartres (avec Edouard) et La Madeleine-Bouvet (Eure et Loir) ...
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| - C'était quand la dernière fois que tu avais joué aux petits chevaux ? demande Léa. S'occuper et occuper, son terrain et celui des autres, faire des choses qu'on n'a plus faites depuis longtemps... 
 Que les gens rencontrés ne s'inquiètent pas : vous n'êtes pas " chairs à Blog " . (Depuis un certain temps, je ne le fais plus jamais sans la permission...car je me suis aperçu à quel point les gens tiennent à leur image, et combien il leur est dur de regarder celle qui ne correspond pas à celle qu'ils se figurent) Il faut bien apprendre un jour le prix d'un jamais et payer celui du jamais plus.   « Un poète doit laisser des traces de son passage, non des preuves. Seules les traces font rêver. » écrivait René Char... 
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