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JOURNAL DE JEAN CLAUDE BOURDAIS The Nogent le Rotrou Times ou Bourdaily on the Web |
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| Pages originales - Tableaux choisis - Peintures de chiens - L'Atelier de Bazille - Saint-Simon - Portraits de Rabelais - Lectures - Femmes d'Alger ... de Delacroix- - André Mare - Raymond Hains - Émile Friant - Joséphine Nivison H - Antoine Chintreuil - Lavinia Fontana - Camille Gaté - | ||||||||||||
| Jeudi 3 novembre 2005 | dernière page | Avant dernière page |
| Première résolution. Ne plus jamais écrire le dimanche que je hais les dimanches. Suite à ma remarque de dimanche dernier , et pour la contredire, pour une fois, j'ai donc reçu un mail d'une lectrice qui me dit ce qu'elle fait les dimanches. Je vous livre son texte : " Les dimanches. Il y a ceux de l'enfance, confus et interminables. L'ennui me faisait observer et dessiner. Les dimanches RAS, rien à signaler. Le dimanche où rester seule au monastère de la Visitation de la ville de Caen, j'ai vomi les raviolis mangés la veille. Maladie au sens le plus littéral du terme. Dehors ? Personne ! Normal c'est dimanche. Où sont les gens ? À la maison en famille… Le dimanche c'est la famille, d'accord ? Dimanches sexuels sous la couette, avec la radio allumée. Les plus doux, les plus ensoleillés ! Que faire d'autre ce jour-là? Puis le dimanche soir, j'allais jouer au billard dans un bar de Rennes où la voix d'Eddy Mitchell s'égosillait à annoncer à tout le monde la dernière séance. Les dimanches studieux et sportifs lire et après nager, revenir en vélo et aller au cinéma pour finir. Sortez le dimanche et regardez le pas ralenti, les bras derrière le dos, des promeneurs sans but. Le dimanche c'est un peu le désoeuvrement collectif mais people have the power. Le grand écart entre les dimanches rêvés et celui réalisé. Entre fantasme et réalité se situe la quintessence dominicale, selon mon humble avis… Le dimanche est, pour moi, aujourd'hui le jour où je me sens vivre tout simplement. " S'occuper de soi le dimanche ! Il fallait y penser ! Vivement dimanche prochain... |
| Il y a un an, je n'avais pas sauté un jour (le 2 novembre 2004), où je parlais de mon entrée dans Ulysse, et de ma poursuite de Tristano meurt...Par contre, le 3 je commençais par une photo de la place Saint Pol de Nogent le Rotrou (première photo de Nogent le Rotrou sur ce journal) avec pour sous-titre : Nogent triste, gris et silencieux. La photo prise ce soir a la même ambiance. Mais je ne la sens pas triste. le soir tombe c'est tout, vu d'une terrasse de café.
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| Il y a un an... la vie continuait déjà... Chez Philippe de Jonckheere, chez Patrick Rebollar , chez Philippe Didion etc...alors que je ne les connaissais pas encore...    |
Première photo, avec mon nouvel appareil, du château...  
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