Vendredi 4 novembre 2005 dernière page Avant dernière page
Résolument résolutionnaire...
Reçu un mail de matin de mon ami peintre Yann R. :
" Salut, j'ai pensé à toi hier. Je suis allé à l'enterrement de Raymond Hains à l'église de Saint Germain des Prés. Un peu trop solennel à mon goût je m'attendais à plus d'originalité.
Il y avait la Géante d'Iris Clert à l'entrée de l'église, Aillagon a prononcé un discours, un représentant de l'actuel ministre de la culture a lu un texte du ministre nul archi nul, d'autres amis ont aussi évoqué la mémoire de l'artiste.
Seul moment un peu drôle c'est quand le curé à la fin de son sermon a prononcé : "Hains si soit-il"
Deuxième résolution : faite celle-là pour faire plaisir à LL deMars
Essayer de faire des fenêtres, autrement dit des popups, qui pourraient éviter trop d'allers et retours entre mes liens et la page en cours de lecture.
Par exemple, si je dis qu'ils commencent à nous seriner sur le film qu' Alain Robbe Grillet vient de finir de tourner (enfin) au Maroc, si on clique sur son nom, on peut juste voir le "ciné-roman" d'où c'est tiré, juste comme un rappel...Voilà, juste pour montrer à notre rennais favori que je me suis sorti de son script...(et on referme la fenêtre svp) et pour dire qu'on va encore beaucoup parler de Delacroix. Sur les extraits du tournage, déjà diffusés, ses carnets de voyage ne quittent pas les genoux du grand maître... Et Arielle Dombasle, semble tout à fait assez déjantée pour danser sur la plage dans de grands voilages blancs... Je rappelle que l'argument de base est simple (faut en profiter, ce sera peut-être la seule chose simple de ce film !).
" Aujourd'hui, c'est la ville de Marrakech qui est sous le feu des projecteurs avec le tournage du prochain film d'Alain Robbe-Grillet qui évoque la vie au Maroc du peintre Eugène Delacroix.
Ce film est librement inspiré du roman de Jensen, "Gradiva, fantaisie pompéienne", où l'on voit un archéologue tomber amoureux fou du fantôme de la jeune fille représentée sur un célèbre bas-relief romain, qu'il imagine avoir péri de façon dramatique dans l'éruption du Vésuve. Ici, Pompéi est remplacé par le Sud marocain, et l'antique sculpture de marbre par une esquisse du peintre Delacroix, un faux probablement.
Les premières lignes du synopsis de ce film d'Alain Robbe-Grillet nous plonge dans le charme et le mysticisme de la cité ocre. Dans une casbah de l'Atlas, à proximité de Marrakech, John Locke, un historien d'art d'une quarantaine d'années, a transformé en appartement et espace d'étude la partie encore habitable d'un ancien palais en ruine. Sous la surveillance jalouse d'une énigmatique servante maîtresse, la très jeune Belkis, il y travaille à un ouvrage sur l'orientalisme pictural, avec en premier plan, bien entendu, Delacroix et son voyage au Maroc. Mais une série d'événements d'apparence d'abord mineure vient troubler ce séjour tranquille… "
Pour lire la suite, ou plus on peut butiner ça et ...
Demain je finis la série Delacroix, avec la version des Femmes d'Alger... qui est à Montpellier
Ce serait dommage... car Véronique Daniel, fidèle lectrice de The Nogent le Rotrou Times à Cincinnati, Ohio, vient de m'envoyer un mail disant, entre autre "Je voulais depuis longtemps vous remercier pour toutes ces pages que j'ai pris plaisir à lire, pour les livres que vous m'avez fait découvrir (je viens de commander La Littérature française au présent), pour la série sur l'Atelier de Bazille et Femmes d'Alger, pour vos coups de gueule et vos petits cyclistes. "
Alors petits cyclistes...Tenez-vous le pour dit...
Sinon I'll tell everything to Véronique...