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Mer. 26 janvier 2005

La page d'hier sur la politique australienne de cet enfoiré de Premier ministre (vous noterez que c'est TRES RARE que j'emploie des "gros mots") n'était pas faite pas hasard : c'est aujourdhui la fête nationale de ce " beau pays". Avec le décallage horaire, je devais donc la faire hier.
Mais c'est vrai que c'est un beau pays, et que comme partout, à côté de ces gens de pouvoir épouvantables, il y a aussi des gens formidables.
Je connais bien ce pays pour y être allé deux ou trois fois par an pendant dix ans, quand je résidais en Nouvelle-Calédonie (1990-1997 et 2000-fin 2003). La dernière fois, étant ce mois d'août 2004...si douloureux pour moi, mais pour des raisons n'ayant rien à voir avec le pays.
Je suis intolérant (et le revendique) sur certains points, entre autres, le racisme et l'injustice.

Merci Berlol d'avoir pointé et relayé les abos. J'aime ce peuple et la revue Autrement a eu raison de faire un numéro intitulé: " Australie noire. Les Aborigènes, un peuple d’intellectuels" (Hors-série, 1989.)
Excellent numéro du Magazine littéraire avec un dossier Saint-Augustin dont l'œuvre est aujourd'hui numérisée.
Certes il est à la mode. De DE Par Dieu qui nous joue sa révélation, à Christian Lacroix, couturier c'est tout dire, qui le cite dans son autobiographie (je ne mets pas de lien, il y en a pourtant), de l'agrégation (mis au programme cette année) aux 426.000 pages internet selon Gougueule, jusqu'au pinard...
Qu'importe, ce n'est pas de la faute à l'auteur, et ce qu'il a écrit reste non seulement valable mais d'actualité, et, excusez moi, pas con.
1- Je suis allé chez le coiffeur ce matin.
2- J'ai fait une interview avec André, dit "Dédé" journaliste au journal Le Perche rencontré au bar La Boule verte, super sympa et pas con.
On a pas mal "arrosé" notre rencontre.
Hier après-midi, j'avais pensé que peut-être, je pourrais chercher une maison, pour pouvoir enfin récupérer mes 6000 livres en garde-meuble à Angoulême.
A 15 heures, c'était fait. J'ai acheté un corps de fer(m)me.
C'est à Thirons-Gardais.
J'ai signé une vente ferme, sans clause suspensive.
La première réaction de mes filles (au téléphone, 5 et 8 ans) fut :
- On pourra avoir un chien ?
Pas loin des réparties de Nina d'Arthur R.

Ah...j'ai oublié : lisez cette page là et celle-là sur remue point net et sur tierslivre point net.
Après on peut rester les yeux ouverts dans le noir avant de s'endormir.