PREMIER CYCLE (1er nov 2004 au 8 février 2005) .................................. (100 jours, cf. journal du 8 février)
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Novembre 2004
Décembre 2004
Janvier 2005
février 2005
DEUXIEME CYCLE (9 février 2005 au 21 mars 2005) .......... .................... (jeu de 50 perles de verre)
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février 2005
mars 2005
TROISIEME CYCLE (commencé le 22 mars 2005)
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mars 2005
Mardi 22 mars 2005
Eh oui, fini les perles de verre. J'en connais qui vont être contents. Il faut dire que la navigation à l'intérieur n'était pas si simple, surtout si on voulait revenir en arrière. On pouvait avoir du mal à retrouver une page précise... et c'était difficile d'être sûr qu'on avait tout vu ou tout lu. Mais bon, d'autres avaient aimé et moi aussi.
50 perles que l'on peut encore voir un certain temps, en l'état, sans doute jusqu'aux vacances de Pâques, qui dans ma zone sont fixées du samedi 9 avril au lundi 25 avril (cliquer simplement sur une des dates du deuxième cycle).
je compte en effet pendant cette période mettre le damier en archive mais d'une manière plus lisible.
C'est le printemps aussi au Collège Brossolette.
Mais longue journée, puisque quand je le quitte (17h) je prends la route pour Paris où j'ai rendez-vous " en vrai " avec quelques personnes que je ne " connaissais " jusque là que par/sur leurs sites/blogs Internet ou par mail (appellation que je n'arrive pas à quitter même si le mot correct en français et visiblement adopté par beaucoup est courriel).
C'est en fait ma troisième rencontre de ce genre, les deux premières étant avec L.l.de mars et Philippe de Jonckheere.
Ce dernier d'ailleurs devait être là aussi ce soir mais avait prévenu qu'il ne pourrait pas venir, devant rencontrer karen Savage . Le rendez-vous était au Physicien, petit restaurant situé rue Monge à 20 heures 15. François Bon était seul assis au bout de la table réservée quand je suis arrivé, comme à mon habitude à l'heure, puis Frédérique Clémençon et un peu plus tard le célèbre Berlol, Patrick Rebollar, échappé du Japon mais surveillé et encadré de près par quatre gardes du corps de l'Université.
J'avais bien sûr une forte appréhension de confronter l'image que je m'étais fait d'eux à travers l'écran avec la réalité (en fait uniquement celle de ce soir-là ?), mais je suis reparti assez content car pas déçu et ne regrettant absolument pas d'avoir fait l'aller et retour.
Chacun est reparti avec ses impressions et ses sentiments, mais l'ambiance était bonne, ouverte, complice. On a bien mangé et bien bu. J'espère que Berlol racontera ça demain.
Mais une fois de plus, les embouteillages et le temps mis à franchir la porte d'Orléans me réconfortent et me rassurent sur le choix de m'être installé à Nogent.
Route de nuit comme je les adore, plein d'images et de mots dans la tête, avec arrivée au petit matin à Nogent le Rotrou, éberlué et ravi d'avoir écouté à la radio un type qui parlait d ' Eusèbe de Césarée, mais pour dire qu'il n'était pas crédible sur ce qu'il avait écrit, ce que j'avais signalé quand j'ai parlé de lui.
Il est six heures 30. Je vais mettre cette page en ligne et me refaire un café.
Mais il n'est pas question de me coucher : j'ai un conseil de classe en fin de matinée.
PS : les gardes du corps de Patrick Rebollar sont Henri Béhar, Michel Bernard , Jean-Pierre Goldenstein — et Laurent. Ils sortaient bien sûr d'un séminaire phalésien.
Non, c'est pas un gros mot ni un monastère du XIVè (siècle ou arrondissement). C'est ça.